À propos de nous:
Nous nous sommes réunis en collectif, parce que nous souhaitons que notre action aboutisse enfin à la juste reconnaissance et réparation de notre statut de VICTIME de la communauté des Béatitudes.
Nous avons tout donné à cette communauté: nos aspirations, notre confiance, notre travail, notre temps et notre argent.
Nous avons été broyé et brisé par les dérives sectaires, les agressions et autres que nous y avons vécues, nous et nos familles.
Nous espérons seulement la justice.
Portraits
Dans cette partie, chacun.e. des adhérent.e.s pourra raconter son histoire...
Non pas que cela nous amuse de "remuer le couteau dans nos plaies", mais parce que notre parole est la seule chose qui nous appartient dans toute ces histoires. Parler pour être reconnu.e.s, pour être entendu.e.s, pour prendre la mesure de toutes les souffrances endurées par tous ceux qui ont vécu la même chose que nous.
Cela permet de tenir jusqu'à la reconnaissance de notre statut de VICTIME de la communauté des Béatitudes.
Pour après, enfin, tourner la page de ce chapitre et vivre libéré.e.s.
Myriam:
A vécu de 1999 à 2002 dans la maison de Château St Luc dans le Tarn avec tout sa famille : son mari, sa fille ainé et le premier de ses deux fils.
Caroline:
Ancienne de la communauté à vécu à Nouan-le-Fuselier et a St Martin du Canigou.
Agathe et Christophe
Agathe a vécu de janvier 1994 à juin 2001 à l'Abbaye Blanche de Mortain.
Avec son mari Christophe rencontré après sa sortie de la communauté ils ont ensemble cheminé pour se construire et se reconstruire.
Ainhoa "enfant de com' "
La communauté a été fondée par des familles, et de nombreuses familles avec enfants y vivaient.
Ce qui n'était pas sans poser problème aux familles, aux enfants et même au Conseil Pontifical des laïcs, à Rome, qui en 2008 à publié un document très instructif.
De nombreux enfants de communautaires ont souffert de ce que certains décrivent "comme un véritable endoctrinement".
Cette facette est très loin d'être correctement prise en compte...
